Alain Gillot-Pétré mort tragiquement : ce dernier vœu que sa veuve peine à réaliser
Posted 10 janvier 2025 by: Admin
Alain Gillot-Pétré, figure emblématique de la météorologie française, a laissé un vide immense lorsqu’il s’est éteint le 31 décembre 1999, à seulement 49 ans, des suites d’un cancer.
Ce journaliste passionné, qui aurait célébré ses 73 ans ce vendredi 16 juin, était reconnu pour son expertise des phénomènes météorologiques, et en particulier des cyclones, au point d’exprimer un dernier souhait aussi spectaculaire que symbolique.
Une vie dédiée à la météorologie
Durant près de deux décennies, Alain Gillot-Pétré a été le visage de la météo sur TF1 et France 2, captivant des millions de Français avec son charisme et son érudition.
Sa passion pour les cyclones ne se limitait pas à un intérêt professionnel ; elle était au cœur de sa vie et de ses aspirations les plus profondes.
Un dernier souhait inaccompli
Dans un testament remarquable, il avait demandé que ses cendres soient dispersées lors d’un ouragan de force 5 en Guadeloupe, une île à laquelle il était profondément attaché.
Cette demande, pour le moins extraordinaire, souligne l’intensité de son engagement envers son métier et son amour pour la Guadeloupe. Toutefois, cette volonté n’a pas encore pu être réalisée, car depuis sa mort, aucun cyclone de cette magnitude n’a frappé l’île.
La complexité d’une telle entreprise
La veuve d’Alain, Marie-Claude, a souligné les difficultés liées à l’exécution de cette volonté. Non seulement aucun cyclone adéquat n’a eu lieu, mais la mise en œuvre de ce souhait serait également extrêmement périlleuse.
L’urne contenant ses cendres reste chez un ami en attente de l’occasion propice, une attente marquée par l’incertitude et le risque.
L’attachement à la Guadeloupe et l’audace face aux cyclones
Marie-Claude a également partagé des anecdotes révélatrices sur la fascination d’Alain pour les cyclones et son attachement sentimental à la Guadeloupe.
Sa détermination à étudier ces phénomènes de près l’a amené à prendre des risques considérables, comme s’attacher à un arbre pendant un ouragan ou voler vers l’œil d’un cyclone dans un avion militaire américain.