Ce saucisson vendu chez Lidl peut vous provoquer fièvre et vomissements: ne le mangez plus
Posted 21 novembre 2025 by: Admin
Alors que l’hiver incite à sortir les appareils à raclette et les plateaux de charcuterie, un rappel alimentaire vient assombrir le menu.

Un lot de saucisson sec vendu chez Lidl présente une contamination à la salmonelle, obligeant les autorités sanitaires à lancer une alerte nationale. Le site Rappel Conso a annoncé, ce jeudi 20 novembre, le rappel d’un saucisson sec en tranches Saint Alby, conditionné en barquette de 150 g et vendu dans de nombreux Lidl à travers toute la France. La présence de salmonelle, bactérie responsable de la salmonellose, a été détectée dans plusieurs lots. Une information qui appelle à une vigilance immédiate des consommateurs.
Une bactérie responsable de troubles digestifs parfois sévères

La salmonellose se manifeste par des diarrhées, des vomissements, de la fièvre et des maux de tête, généralement entre 6 et 72 heures après ingestion. Si la maladie reste bénigne dans la majorité des cas, elle peut entraîner des formes plus graves chez les jeunes enfants, les personnes âgées, les femmes enceintes ou les individus immunodéprimés. Rappel Conso insiste : toute personne présentant ces symptômes après avoir consommé le produit doit consulter un médecin.
Les références concernées par l’alerte
Deux lots du saucisson Saint Alby sont concernés :
-
GTIN 4335619283145 – Lot 463905 – DLC : 29 janvier 2026
Advertisement: -
GTIN 4335619283145 – Lot 464877 – DLC : 4 février 2026
Ces produits ont été commercialisés entre le 29 octobre et le 20 novembre 2025 dans de multiples points de vente Lidl en France. La liste détaillée des départements concernés est disponible sur Rappel Conso.

Ce qu’il faut faire si vous détenez un produit contaminé
Les autorités recommandent de ne surtout pas consommer ce saucisson. Il doit être détruit ou rapporté au magasin pour un remboursement intégral. Lidl invite les clients à contacter le service consommateurs pour toute question ou précision. En l’absence de symptômes dans les sept jours suivant la consommation, il n’y a pas lieu de consulter, mais la surveillance reste de mise.







