Vous pouvez contester facilement vos amendes grâce à une appli conçue par des avocats

Posted 1 juin 2024 by: Admin #Actualité

Vous avez été flashé par un radar automatique ? Pas de panique. Le cabinet d’avocats Eric de Caumont, spécialisé en droit routier, a lancé le 23 mai 2024 une application mobile nommée Flash radar. Cette innovation promet de simplifier la contestation des infractions, de conserver vos points de permis et de réduire les frais d’avocat. Mode d’emploi.

Advertisement:

Grâce à cette application, vous pourrez désormais contester facilement les contraventions constatées par les radars automatiques. Une véritable aubaine pour les automobilistes qui souhaitent préserver leur capital de points sur leur permis de conduire.

Flash radar est disponible gratuitement sur l’App Store et Google Play.

Son utilisation est simple et rapide : il suffit de photographier votre avis de contravention avec votre smartphone. Grâce à la technologie OCR (Reconnaissance optique de caractères), l’application analyse les informations pour déterminer si la contestation est possible. Pour que cette dernière soit recevable, certains critères doivent être respectés, comme le respect du délai légal de contestation de 45 jours, ne pas avoir payé l’amende, et ne pas être désigné par un employeur.

En cas de validation, vous devrez payer des honoraires fixes de 57 euros TTC, bien moins élevés que les tarifs traditionnels variant entre 200 et 500 euros.

Il est important de noter que cette démarche ne vous exonère pas du versement obligatoire de la consignation, qui est une condition préalable à la contestation. Cette somme est conservée par l’État jusqu’à la fin de la procédure. Si l’amende finale dépasse le montant de la consignation, vous devrez régler la différence. En cas de relaxe, la consignation vous sera intégralement remboursée.

Advertisement:

Flash radar permet également de suivre en temps réel l’évolution de votre dossier et de communiquer directement avec les avocats via votre compte client.

Le principal avantage de cette application est de vous éviter le retrait de points sur votre permis de conduire, car le conducteur ne peut être condamné qu’en cas d’identification formelle. Or, selon le cabinet de Caumont, 98 % des clichés photographiques ne permettent pas cette identification formelle. « Afin d’être en mesure de vous poursuivre en qualité́ de conducteur du véhicule, l’officier du ministère public a l’obligation de vous identifier comme auteur de l’infraction. Sans interpellation par les forces de l’ordre, sans dénonciation de la part de votre employeur, sans photo qui permettrait de vous identifier, vos points seront préservés », peut-on lire sur le site internet de Flash radar.

Toutefois, seuls trois types d’infractions détectées par radars automatiques sont contestables via l’application :

le non-respect des distances de sécurité, l’inobservation de l’arrêt au feu tricolore, et les excès de vitesse compris entre 5 à 49 km/h.

Advertisement:

Next: Pierre Palmade : ces textos insultants envoyés à ses proches avant l’accident
READ IT!
Advertisement:

Thanks for your SHARES!

You May Also Like

Add a comment

Latest posts

Voici tout ce que vous devez savoir sur les sardines en conserve

Crémation : où peut-on disperser les cendres d’un défunt ? Les règles à connaître

Affaire Grégory : Jacqueline Jacob, grand-tante du petit garçon assassiné, est mise en examen

Nicolas Sarkozy grand-père en prison : ce prénom africain que Louis a a donné à son fils est très symbolique

Adriana Karembeu (54 ans) sans retenue avec un célèbre animateur : “Vous êtes mon fant…”

« Je suis à… » : Tibo InShape dévoile ses revenus mensuels et c’est vertigineux

Bénéficiaire d’une allocation pour « handicap sévère », elle participe à une course à pied : elle est condamnée à 8 mois de prison et une lourde amende

Trois détenus de la prison de la Santé en garde à vue après une vidéo de menaces visant Nicolas Sarkozy

Chauffeur, indemnités : Nicolas Sarkozy continue de percevoir 700 000€/an de la part de l’État français

Affaire Maddie : Depuis sa sortie de prison, le principal suspect vit dans la rue et sous protection policière