Delphine Jubillar : « Depuis que cette chienne a fait des petits, je… », révélation choc de l’un de ses voisins

Posted 1 octobre 2025 by: Admin
Près de cinq ans après la disparition mystérieuse de Delphine Jubillar, l’affaire continue de tenir en haleine la France entière.
Le procès de son compagnon, Cédric, présumé innocent en l’absence de preuves formelles, ravive à chaque audience les blessures d’une enquête complexe et les spéculations autour d’un drame qui reste sans corps. Dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020, Delphine Jubillar, infirmière et mère de famille de 33 ans, quitte son domicile de Cagnac-les-Mines, vêtue d’une doudoune blanche et munie de son seul téléphone portable. Depuis cette nuit d’hiver, elle n’a jamais reparu, laissant derrière elle un vide insoutenable pour ses proches et une énigme judiciaire qui s’éternise. Cédric Jubillar, son compagnon, est rapidement devenu le principal suspect, mais sans aveux ni corps retrouvé, la vérité demeure insaisissable.
Un procès sous haute médiatisation
L’affaire a pris une ampleur nationale, attirant journalistes, curieux et passionnés d’affaires criminelles. Le procès, loin d’un huis clos discret, se déroule sous les projecteurs, rappelant d’autres drames judiciaires retentissants comme ceux de Xavier Dupont de Ligonnès ou du petit Grégory. Chaque détail de la vie privée du couple est disséqué, nourrissant théories, rumeurs et débats parfois extravagants. Parmi les pistes évoquées, un personnage intrigue particulièrement : Jean, surnommé “l’amant de Montauban”, adepte du BDSM et actif sur des forums obscurs, qui aurait entretenu une liaison avec l’infirmière disparue.
Une réputation mise à l’épreuve
Durant les audiences, deux portraits de Delphine s’opposent. D’un côté, ses proches dressent l’image d’une mère aimante et d’une professionnelle attentive. De l’autre, la défense de Cédric met en avant des zones d’ombre, évoquant des négligences ou des comportements jugés légers. La vie intime de la disparue a été largement exposée, entre tenues suggestives, jouets intimes dissimulés et confidences troublantes, transformant le procès en révélateur de secrets personnels. Une exposition publique qui divise entre compassion et malaise.
Les doutes exprimés par le voisinage
Dans un documentaire consacré à l’affaire, un voisin, Michel, a livré un témoignage marquant. Selon lui, l’hypothèse que Delphine soit sortie promener les chiens cette nuit-là serait peu crédible. Il affirme que l’infirmière ne s’occupait jamais des animaux, tâche dévolue à son mari, et qu’elle semblait excédée depuis que leur chienne avait eu des petits. Une version qui fragilise l’un des scénarios avancés par la défense et souligne encore les zones d’ombre autour des derniers instants connus de Delphine.