La gaffe d’une présentatrice télé sur son bureau en cristal devient virale

Posted 16 mai 2025 by: Admin
Il suffit parfois d’un angle de caméra malheureux pour faire basculer une émission sérieuse dans l’embarras viral. C’est ce qu’a vécu la journaliste italienne Costanza Calabrese en 2016, lors d’un journal télévisé sur TG5. Une séquence banale s’est transformée en buzz mondial… à cause d’un simple bureau en verre.
Tout commence comme un journal classique : une présentatrice concentrée, un ton professionnel, une diffusion en direct. Costanza Calabrese est assise derrière un élégant bureau en verre, vêtue avec sobriété, visiblement prête à livrer l’essentiel de l’actualité.
Mais lorsque la caméra prend du recul, l’esthétique moderne du plateau se retourne contre elle : le bureau, totalement transparent, laisse apparaître ce que la présentatrice n’avait aucune intention de montrer. Le choix vestimentaire, inadapté à la structure du mobilier, devient involontairement visible à l’antenne.
Une scène à la Sharon Stone… involontaire
La scène évoque instantanément le mythique passage de Basic Instinct, avec Sharon Stone croisant les jambes dans une posture devenue culte. À la différence près que Costanza Calabrese n’avait rien prémédité. Elle lisait simplement ses notes, concentrée, pendant que des millions de téléspectateurs observaient bien plus que son regard.
En quelques heures, la vidéo devient virale, reprise sur les réseaux sociaux et commentée à l’international. Le compteur dépasse rapidement le million de vues. Le journal du soir se transforme en phénomène numérique.
Entre humour, gêne et indignation
Les réactions des internautes ne se font pas attendre. Certains pointent du doigt la production :
« Comment personne n’a-t-il pu anticiper cela ? »
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D’autres défendent la journaliste, soulignant qu’elle ne pouvait pas imaginer être filmée sous cet angle :
« Pauvre Costanza, ce n’est pas à elle d’anticiper les erreurs de plateau. »
Enfin, quelques voix, plus moqueuses, rivalisent de jeux de mots :
« La transparence journalistique, poussée à son extrême. »
Un mélange de compassion, d’ironie et de malaise collectif s’installe autour de l’incident.
Un problème connu, pourtant ignoré
Ce n’est pas un fait isolé. Ce même bureau en verre avait déjà causé des incidents en 2014, lorsque d’autres journalistes, dont Paola Rivetta et Barbara Pedri, avaient également vu leurs sous-vêtements dévoilés à l’antenne.
La responsabilité revient donc à la chaîne, et non aux présentatrices. La transparence du mobilier, combinée à une absence de vigilance de l’équipe technique, aurait dû alerter bien avant la diffusion. Un simple rappel ou un changement d’angle aurait suffi à éviter l’incident.
Une leçon moderne sur l’image et la viralité
Dans l’univers impitoyable de la télévision et des réseaux sociaux, le moindre détail peut faire le tour du monde. Ce qui aurait pu passer inaperçu dans une époque antérieure devient aujourd’hui un sujet de commentaires massifs, de détournements et de moqueries virales.
Ce cas rappelle une règle essentielle à tous ceux qui œuvrent dans le direct : connaître son décor, son angle, sa posture… et surtout son bureau. Car si l’image est un pouvoir, elle peut aussi devenir un piège.
Au-delà de l’effet viral, cet épisode révèle l’exigence disproportionnée envers les femmes à l’antenne. Toujours observées, jugées sur leur tenue ou leur posture, elles doivent conjuguer professionnalisme et vigilance corporelle… là où une simple erreur de plateau peut ruiner des années de carrière en quelques clics.