P. Diddy accusé de trafic se*uel : l’affaire prend une tournure encore plus sordide, le rappeur vi*leur en série ?
Posted 2 octobre 2024 by: Admin
Sean Combs, mieux connu sous ses pseudonymes Puff Daddy, Puffy, Diddy, ou P. Diddy, fait face à des allégations graves qui ont émergé récemment.
Plus de cent victimes l’ont accusé d’agression se*uelle, portant un coup sévère à son image publique et à sa carrière. Cette affaire, révélée par l’avocat Tony Buzbee, semble marquer un tournant décisif dans la perception publique de la star américaine.
Les révélations ont été faites par Tony Buzbee, l’avocat représentant collectivement les victimes, qui a annoncé une poursuite judiciaire contre le rappeur. Lors d’une conférence de presse, Buzbee a déclaré : « Il s’agit d’une affaire importante que nous avons l’intention de mener de manière agressive ».
Il a également encouragé d’autres victimes ou témoins à se manifester, soulignant la gravité et l’étendue des comportements reprochés à Combs.
Les premières révélations par Cassie
L’affaire a pris de l’ampleur suite à la plainte de Cassie, chanteuse et ex-compagne de P. Diddy. Elle avait déjà partagé son expérience traumatisante sur Instagram, incluant une vidéo montrant une altercation violente avec lui en 2016.
« Les violences conjugales sont un véritable fléau. Cela m’a brisé à un point que je n’aurais jamais imaginé », confiait-elle, illustrant les difficultés des victimes à se reconstruire après de tels abus.
Réponse de P. Diddy et écho dans la communauté
Face aux accusations, P. Diddy a publiquement présenté des excuses, reconnaissant son comportement « inexcusable » et « dégoûtant ». Il a mentionné avoir entamé une démarche de soin pour ses addictions.
Cependant, la suite des révélations par d’autres victimes dépeint un tableau plus sombre, évoquant des fêtes où l’alcool et la drogue étaient utilisés pour manipuler et contraindre les participants à des actes se*uels non consentis, des événements parfois si exténuants que les victimes nécessitaient des soins médicaux intensifs.